Il faut arrêter de cracher sur un groupe de punk rock si on n'est pas capable d'en comprendre l'esprit. Billie Joe Armstrong l'a très bien dit, c'était un challenge qui consistait à enchaîner trois albums en un temps très limité, pas l'attente d'une inspiration lyrique sans précédent. Les gens se plaignaient du renouveau de Green Day dans leurs deux opéras rock. Les voilà qui retournent sur leurs bases, avec des textes courts mais violents, rapides et virulents. Tout le monde aime "Let yourself go", ou bien la plupart de ceux qui écoutent du rock un peu hard, mais il suffit juste de dire que ça vient du dernier album et ça devient nul. Bravo.