Le sommet du V.U. est leur pire descente aux enfers : en vrille… Un concassage impitoyable mais fascinant de notre confort musical, des mots littéralement visqueux à la perverse fascination, de brusques échappées mélodiques avant de s'abandonner à nouveau dans de noirs tourbillons, un bruit continu mais "sec" comme une jouissance jamais atteinte, et surtout ces voix mystérieuses et cruelles, qui allaient mettre en scène pour longtemps nos fantasmes artistiques. Une expérience à répéter, sans modération, jusqu'à l'usure des nerfs.

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le 28 avr. 2014

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Eric BBYoda

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