L'ambition du mangaka a eu raison de la cohérence de sa duologie : en voulant y insérer un maximum d'éléments de science-fiction (robotique, clonage, jeu virtuel, homme augmenté...), il n'a pas été capable de les souder avec logique et de mener à bien son projet initial. Ainsi, si le début de ce second tome rattrape correctement les cafouillages du précédent, son dénouement est une immense farce. D'innombrables questions restent sans réponse à la fin de cette lecture.
J'espère toutefois que l'idée première sera reprise sous une forme ou sous une autre dans une œuvre future parce qu'elle mérite d'être creusée.