L'épisode sur les parents de Mao est étonnamment touchant (il semblerait que la mère soit encore plus horrible que le père) ; il aurait peut-être dû paraître plus tôt, dès le premier volume, afin de ne pas détruire la figure paternelle.
Pour ce qui est du reste, Daiki, fée du logis de son état, est certainement le personnage le plus sympathique de la série. Quant à son frère aîné, il est en fait trop manipulateur pour être excusable : il veut l'attention totale de Mao mais ne lui offre rien en échange... Ça fait stagner leur relation dans un marais d'ennui faisandé.