Le dénouement de ce quatrième tome est tout à fait surprenant, je ne m'attendais pas à un tel jeu de dissimulation dans ce shōjo autrement conventionnel. L'héroïne, bien qu'elle soit toujours malmenée par de nouveaux ennemis, exhale tant de bons sentiments qu'elle en deviendrait presque l'allégorie de la Bonté ; ce nouveau souffle donné à l'empathie vient doucement caresser le lecteur. Je regrette seulement que le roi ne réquisitionne pas davantage de pages : ses attitudes et répliques sont pour le moment aussi fugaces que répétitives.