Bien que j'aie fortement apprécié ce tome, je ne peux m'empêcher de penser qu'il aurait dû être le premier de cette série : le retour en arrière, aussi trépidant soit-il, arrive comme un cheveu sur la soupe ; l'histoire de Sawyer et Rosalie aurait fonctionné de la même manière si l'ordre chronologique avait été respecté.
Quoi qu'il en soit, l'enfance de ces deux héros est une émouvante pagaille, une succession de rencontres plus excentriques les unes que les autres, une alternance de rires et de larmes. Qu'est-ce que c'est bien !