Les origines du credo de Sengoku sont révélées avec dérision dans ce volume-ci, le mangaka parvenant à leurrer le lecteur avec une adresse insoupçonnée. Pour autant, les évanouissements à répétition de la lycéenne ne rendent pas ce personnage aussi sympathique que Shirô, dont la persistance et la constance me réjouissent. Ce troisième tome confirme en outre que tout est prétexte au travestissement des deux héros, même si rien n'en ressort.
... Il me semble avoir déjà vu cet épisode du snack sur la plage dans Otomen. Un peu d'originalité, bon sang !