Après une analepse sordide sur l'enfance de Theo, qui montre entre deux battements de cils Hitler haranguant la foule, — tous les personnages le mentionnent mais il n'est jamais dans l'image, — l'histoire fait une halte dans les tréfonds de l'abomination. Le dessin est toujours aussi vilain, ce qui ajoute au dégoût que je ressens à la lecture (ce doit certainement être fait exprès, mais qu'est-ce que c'est rebutant). La diabolisation des personnages est en plus extrême, il n'y a pas une once de lumière ; et tout empire quand des phénomènes inexplicables se produisent. Il ne manquerait plus que ça vire dans le fantastique !