Les sentiments de Tachibana sont formellement confirmés par le parallèle établi entre ses deux rendez-vous, identiques sur le papier, d'abord avec le cuisinier, — personnage d'ailleurs peu sympathique, — puis avec le manager, qui doit se faire une raison. Les pages les plus réussies sont celles qui détaillent le visage de l'héroïne, particulièrement ses yeux, miroir en fait déformé de son âme (chez elle l'affection semble être de la colère), mais la curiosité du lecteur se porte naturellement vers Kondô, dont l'histoire s'étoffe peu à peu.