Il paraît évident que l'héroïne essaye de modérer ses passions pour ne pas ébranler davantage Kondô, — ce qui aura certainement l'effet inverse dans les tomes à venir, — ni même le rythme émollient adopté par le manga. L'intrigue dévie donc quelque peu pour se concentrer sur le cuisinier (dont j'ai oublié le nom), en fait pris dans une situation assez semblable à celle de Tachibana. Le lecteur est maintenant le témoin privilégié, mais tenu au secret, de deux histoires d'amour apparemment impossibles, en tout cas troublantes.