Prenez celle-là, elle vous guidera toujours vers la perdition de toute façon.
Mais de fait, il faut bien la voir en face pour savoir sur quoi tirer pour apercevoir la vérité derrière.
Même après la nuit la plus noire vient toujours l'aurore, si on a envie de vivre avec, se dire que chaque aube est une occasion en or et pas une corvée existentielle.
Une aubaine de pouvoir mettre la lumière sur ce qui est resté au repos à peine quelque temps plutôt.
Quand les fous sont à la luminosité d'un œil lucide à demi-apeuré, leurs émanations deviennent de véritables œuvres picturales conscrites par leur caractère à moitié palpable par rapport à la réalité.
S'étalant de leur seconde partie la plus volatile à leur état, celle essayant le plus de s'échapper de cette constitution dégénérant tellement, que l'univers rejette son existence, sa couleur elle-même en la jetant dans le noir perpétuel.
Comme si les laisser libre pouvait intoxiquer tout le reste de la création, et ainsi donner une autre énergie à respirer aux êtres vivants : les recouvrir d'un halo industriel, de celui qui resplendit même dans les nuits les plus désastreuses.