Critique de Chien chaud, quatre saisons par Sunread26
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Par
le 30 sept. 2022
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Extrait :
On continue d’avancer dans la série et voilà déjà le vingtième tome ! Je n’ai pas encore le tome suivant, donc ça sera une petite pause pour moi et je crois que mon cerveau en aura bien besoin. J’ai vraiment du mal à voir Isagi douiller autant alors qu’il est le plus fort du Blue lock en termes d’évolution. Kunigami me fait pitié et se permet d’ouvrir son clapet. Pour le reste on en saura plus dans les prochains tomes.
Ce tome me confirme qu’Isagi a vraiment choisi la pire équipe, que ce soit en termes de mentalité des joueurs de l’équipe nationale allemande ou celle du coach. Suffit de voir comment les autres ont fonctionnés et été sélectionnés facilement… Noël Noah sert strictement à rien, pas étonnant que ses joueurs du Blue lock n’évoluent pas. Le gonze à quand même été appelé pour ça, mais il ne fait rien, apprenez tous seuls les gars c’est comme ça qu’on évolue ! Oui mais non ! Tu as appris à lire et écrire tout seul ? Bah non évidemment, donc comment tu veux qu’ils évoluent ? Ils finiront par y arriver car c’est le scénario qui veut ça, mais ça reste vraiment pitoyable. Tout comme le fait que les autres (pour les personnages importants), soient vite titulaires je trouve que c’est du n’importe quoi. Je dirais même que pour certains personnages, ils sont titularisés uniquement parce que le coach fait son boulot. Noah lui est payé à rien foutre… Même si je trouve les idées de bases géniales, je n’apprécie pas trop cette partie-là où le coach s’avère encore plus inutile qu’Ego. Que les joueurs internationaux soient vu comme de vrais rivaux, pourquoi pas, mais alors il faudrait que ce soit le cas dans chaque équipe, ors ce n’est pas du tout le cas et ça casse tout. C’est dommage parce que la série est vraiment top, mais comme je le dis, quand Isagi avance d’un pas, l’arc suivant il commence en reculant de deux. Ce qui donne l’impression qu’il n’a pas évolué du tout alors que si… et ça j’aime moyen également.
J’aime bien l’idée du nouveau système d’évaluation, celui-ci est basé sur les offres que font les clubs pour les joueurs de vraies offres. Ainsi, ceux qui ne jouent pas sont à zéro d’office et plus tu montres tes talents, plus tu montes. Les joueurs des équipes nationales sont aussi évaluées, juste pour montrer la différence. Chose que je trouve assez ironique, c’est qu’il est logique qu’ils vont mettre une forte somme à leur chouchou, même si celui-ci ne fait pas grand-chose. C’est le cas par exemple pour Kaiser, il n’a marqué qu’un but et fait quelques jeux sans ballon mais rien de plus, pourtant, il est évalué super haut. En même temps, si ce n’était pas le cas, je suis sûr qu’il le prendrait mal et partirai de son équipe juste pour se venger, donc au final, sa valeur n’a aucune valeur. Il continue d’être super arrogant, alors qu’il n’a rien montré d’intéressant à mes yeux. Petit à petit, son équipe va sur le banc et cède sa place aux joueurs du Blue lock, preuve qu’ils ne sont que des marches et qu’ils devraient s’en tenir à leur place (comme ils aiment si bien le dire). J’ai hâte que le larbin de Kaiser sois sur le banc, plus personne ne lui fera de passe comme ça, il ne vaudra plus rien. J’imagine juste qu’ils finiront par faire comme les U20 et par monter en puissance aussi, parce que l’arrogance est là (et non l’égo). Ils sont guidés par la peur de la honte, donc je n’appelle pas ça de l’égo. J’espère que chaque joueur du Blue lock aura au moins une occasion de jouer, finir à zéro serait vraiment blessant après avoir fait tant d’efforts. D’ailleurs, comme les buts comptent dans les notes, les joueurs du Blue lock ont intérêts à s’imposer, mais aussi à ne pas faire rentrer leur coach (car du coup il marque lui-même le plus souvent).
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Créée
le 20 févr. 2025
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