Un fourmillement incontrôlable de bonnes idées qui fatigue plus qu'il ne convainc. Chaque élément pris individuellement est intéressant mais la formule : pouvoir du papier + Jules Verne + Arthur Conan Doyle + espionne américaine + univers steampunk + combats de machines + personnalités historiques + ..., crée une histoire plombée par une lourdeur et par une incohérence que je n'ai pas su ignorer. Il y a trop de matières premières et pas suffisamment de liant.
Tout ce que je vais garder en tête au sujet de ce premier tome (et du manga, puisque je ne lirai pas la suite), c'est l'image amusante du majordome aux poils grillés.