riche de ça. De 42 tomes pastel, bien alignés dans une bibliothèque pour enfants, pour adultes. Des années à collecter mes exemplaires, à les compter, les lire et les relire. S'il fallait me retirer mes livres, gardez-moi Dragon Ball, parce que je sais que je pourrai les relire ad vitam, parce que je sais que d'autres seraient contents de me les emprunter.
Certes, il manque parfois la couleur pour revivre les animations des mercredis pyjamas. Certes, il manque les voix, les génériques, les thèmes, les bruitages. Mais la beauté du manga, c'est aussi d'avoir créer, réaliser des codes de mouvements, de spacialisation, d'interactions et découvertes de soi. Les cases s'enchaînent comme une pellicule de cinéma déroule, les cadres oublient les bandes noires pour donner pleine page des scènes, des regards, des face-à-face, des explosions à la hauteur de la toute-puissance des guerriers, pas toujours bons.
Riche de ça, mais ça s'achète, alors, c'est presque facile.
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