Critiques de Froid équateur - La Trilogie Nikopol, tome 3

Enlak
7

Critique de par Enlak

Un curieux sport mélange d’échecs et de boxe, une ville d’Afrique où il gèle à l’intérieur, où des girafes, éléphants et singes se mêlent sans problèmes aux humains, et ce sans aucune explication ...

le 6 avr. 2013

7 j'aime

mavhoc
8

Au nom de Nikopol, du fils et d'Horus

Troisième et dernier tome de la saga Nikopol, Froid équateur nous fait encore changer de narrateur. Après Nikopol père dans le premier, et Jill pour le numéros intermédiaire nous retrouvons Nikopol...

le 13 févr. 2013

4 j'aime

Kowalski
9

Nikopol père et fils

Après un premier tome alléchant et lançant parfaitement la série Nikopol, après un second tome toujours aussi magnifiquement dessiné mais poussif au niveau de l'histoire, Bilal clôt de fort belle...

le 16 oct. 2012

4 j'aime

1

ChristineDeschamps
4

Critique de par Christine Deschamps

La dérive s’accentue, les trains fourmillent d’animaux qui se bousculent au bar, les personnages se barrent en sucette, l’histoire a des convulsions inquiétantes, on entre dans une sorte de narration...

le 8 déc. 2016

2 j'aime

tizboe
8

routE d'aFrique

Fidèle au poste, Bilal remet ça tous les six ans et clôture la trilogie avec brio. Un dessin dont la maturité évoque déjà "Le sommeil du Monstre", dont la richesse et la fantaisie graphique font de...

le 18 juin 2013

2 j'aime

1

Kabuto
6

Critique de par Kabuto

Dans ce troisième album, on plonge en plein délire. Chaque dessin semble tout droit sorti d’un rêve ou plutôt d’un cauchemar. Une Afrique dans la neige, des trains remplis d’animaux et des...

le 1 déc. 2013

1 j'aime

LePouceduCoin
6

Critique de par LePouceduCoin

Cette fin de trilogie m'a un peu déçu, surtout la fin où je n'ai pas forcément tout compris...C'était déjà bien perché mais là, ça va trop loin pour moi. Le dessin est par contre toujours fascinant,...

le 12 janv. 2024

WeaponX
9

"Je me reconstruis"

Cette trilogie m'aura fait vivre des moments de lecture si spéciaux, on vit un rêve étrange, dérivant dans la beauté de ce futur en perdition. Le graphisme sublime de nouveau une histoire absurde,...

le 15 juil. 2016