Garôden par Ray Harryhausen
Bon, le principe étant que j'ai décidé, passé la folie de la découverte de SC, de ne noter que pour critiquer, je m'y mets sur la base de souvenirs que je n'espère pas trop lointain: Mélant Arts martiaux et Catch old school (la technique semblant à l'époque être plus importante que l'angle ou le mic skill), le récit mis en image par Taniguchi -dans son style habituel qu'on qualifierait de Réalistico-taniguchien si cela ne sonnait pas si mal - est simple: un outsider veut prouver qu'il est le plus fort dans l'art du combat. S'attendre donc à des scènes de baston régulières, entrecoupées de considérations sur la motivation et l'histoire du héros (?) principal; c'est agréable à lire, cela ne révolutionnera pas le genre et restera anecdotique dans l'oeuvre de Taniguchi; reste que ce dernier arrive comme dans d'autres récits à nous faire toucher au plus profond l'âme de son personnage; la dernière page et conclusion de ce manga en est la preuve absolue...