Des espèces de trifouillis.
J'en ai déjà parlé quand ca essaye d'être naturel.
Mais qu'est-ce qui se passe quand ca essaye d'être... fictionnel ?
Ca donne un truc totalement indigeste, vu que c'est précisément pas naturel.
Ca pète des câbles tous les 3 millimètres, ca essaye de mettre de l'action, de l'univers, des complots politico-financiers dans un seul tome.
En plus de 5 lignes de bas de page par page.
Au final le rendu est tellement intraitable, que tu prends tout ton temps pour.
De toute façon c'est fait pour.
En est la preuve les pages couleurs magnifiquement, hors bande dessinée, scénographies quelconques.
Qui rajoute plus de questionnements, d'interrogations sensuels, sensées et philosophiques à tout le foutoir.
Un petit peu comme si on rentrait dans une machine, on se miniaturisait pour voir tout le bordel en petit en croyant que ca va aidé, alors qu'on est juste plus petit donc non ca va pas du tout aider.
On est tous rentré au cœur d'un auteur et pas d'une œuvre.
En est la preuve final l'adaptation cinématographique si connue, demi-écrémée compréhensiblement pour tout un chacun qui voulait rentrer dans le dernier âge de la fiction.