Les transitions entre les différentes scènes sont aussi maladroites que dans le tome précédent mais n'empêchent pas de plonger plus avant dans cet univers fantaisiste, aux côtés de personnages joliment dessinés — et nobles de la tête aux pieds. Je regrette surtout que les décors soient si peu travaillés ; ce « monde aux innombrables îles » n'est jamais époustouflant (alors que cette désignation fait rêver), tout simplement parce qu'il est la plupart du temps invisible...
Véritable déclencheur de l'aventure, puisque l'équipage est — supposément — enfin au complet, ce deuxième volume vient également confirmer que Granblue Fantasy est un manga modeste mais attachant.