Comme pour le tome 1, Esther évolue au fil des pages et c'est la force principal de l'œuvre de découvrir sa représentation du monde, ses doutes et problème.
On navigue ainsi à travers ces minis histoires ou l'humour léger est bien maîtriser. On sent souvent de manière même intemporel qu'on a vécu une bonne partie de ses moment de vie qui peuvent faire écho à notre passer.
Bien sûr l'innocence de l'enfance est toujours là marquant de bon gag sur les quiproquos que peut faire une fillette de son âge.
Si le dessin et le texte peuvent rebuté des personnes non habitué, le jeu en vaut la chandelle. Esther reste le voyage d'une année au travers des yeux d'une fillette nous exposants à une palette d'émotions et de nostalgie sur notre propre enfance.