Kamuya Ride, tome 2 par Sunread26

Chronique complète :

Extrait :

N’ayant pas trop apprécié le premier tome, malgré le fait que la série s’inspire des Kamen rider, je me décide enfin à la continuer. Le but étant, vous l’aurez compris, de lire les quatre volumes que je possède afin de savoir si je continue et conserve la série, ou pas. La franchise Kamen Rider est dans mon cœur, et c’est ce qui m’avait poussé à prendre cette série, malheureusement, seule l’armure est liée à la franchise, le reste… c’est bien loin de sa mentalité (pour moi, en tout cas).

Le combat contre les kamis continus dans ce tome, cette fois-ci, Kamuya Ride aura du mal à vaincre son ennemi et finira même blessé. Celui qui invoque des kamis est également dévoilé, et il semblerait qu’il ne soit pas humain, il sous-entend la même chose de Kamuya Ride. Je trouve que le dévoilement (aux personnages) de l’identité de l’invocateur est un peu trop rapide, on est qu’au deuxième tome. Il évoque aussi quelque chose qui a été volé par les humains, il y a plusieurs siècles, et visiblement, cette chose serait en Takeru. D’après ses dires, cela doit être une sorte de force, de moyens de vaincre les kamis ou que sais-je. La publication de la série est assez longue, mais j’avoue qu’avec une telle révélation, aussi vite, je ne vois pas la série durer très longtemps. À moins de rajouter d’autres antagoniste et protagonistes l’intrigue, comme le font souvent les Tokusatsu de la franchise Kamen Rider. C’est déjà un peu le cas, avec l’arrivée d’un personnage féminin qui revêt aussi une armure, même si celle-ci est très différente, n’a pas le même mode de fonctionnement. Les combats sont toujours dynamique et avec assez peu de textes. Je n’ai pas encore le tome, mais le tome 6 montre une moto… alors que les moteurs n’existent pas encore…

Avec cette série, très inspirée, je m’attendais fortement a beaucoup d’action, et pour le coup, on est plutôt bien servi. Le coup de pied typique des Kamen Rider prend aussi un nouveau sens avec ce récit. J’espérais aussi beaucoup du design des monstres et du Kamen, car c’est aussi une partie que j’adore dans les drama. Grâce au dessin, il est possible de mieux se lâcher sur le design des kamis, les méchants. Malheureusement, il n’y a pas autant de détails colorés ou non, à cause du format ou du style graphique de l’auteur. L’action étant omniprésente, l’intrigue en souffre aussi grandement. L’auteur prend assez peu de temps pour développer les personnages ou bien le reste du iore. On passe d’un Kami à un autre sans qu’il y autre chose en plus. Il n’y a donc pratiquement que des combats, des bouts de voyages, ainsi que Takeru à poil. Les thèmes, souvent durs, évoqués par la franchise Kamen Rider sont totalement absent, tout comme l’humour ou le côté décalé.

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