C'est beau, même si les caractères sont un peu trop clairs pour la lecture dans les phylactères. La couverture donne une idée assez fidèle du graphisme : des teintes tirant vers le gris, assez sombres, qui collent bien au décorum victorien.
Un scénario qui dégonfle pour l'instant le mythe de Sherlock Holmes, tout en étant très renseigné : Holmes serait un cocaïnomane qui aurait à la fin de sa vie poursuivit de ses calomnies Moriarty, un professeur d'université en mathématiques qui a subi un mystérieux accident et habite dans une belle demeure payée par... Holmes. Le salaire d'une mauvaise action ?
J'attends de voir les tomes suivants. Pour l'instant, ça part bien.