Bon…
Disons que le désintérêt et l’usure apportés par le tome précédent est ici compensé par la satisfaction d’avoir la résolution de tout cet arc concernant les trois montres d’argent.
Alors après, mettons les choses au clair.
Pour moi, « les trois montres d’argent » ça a quand même été le vrai début de la fin de cette saga.
Du coup, connaître les tenants et aboutissants de quelque-chose à l’égard duquel j’ai un ressenti assez négatif, c’est pas non plus le meilleur moyen de connaître l’extase.
Surtout que côté personnages moisis et décisions foireuses, on est quand même servis.
Giordino continue de faire son vilain d’opérette. Felicity (parce que oui, ils ont osé nous la remettre) est toujours aussi garce. Et Jones est toujours aussi… Bah en fait Jones est elle aussi devenue un personnage moisi au fur et à mesure des épisodes.
Son côté « Oh XIII au fond de moi je n’ai d’amour que pour vous ! Quel sacripant vous faites à ne pas vouloir devenir mon regular ! En tout cas, moi, toute ma vie et tous les risques que je prends, je ne les prends que dans l’espoir de conquérir votre cœur ! »
Non mais oh… Je veux bien que Jones n’ait jamais été un personnage ultra profond, mais au moins elle était un minimum bad-ass avant…
Pour moi, cet « Or de Maximilien » contribue à l’enterrer ; bien plus qu’elle n’enterre Amos d’ailleurs. Que c’est triste d’assister à cette longue agonie.
Et dire qu’il y a encore deux épisodes derrière…