Suite directe de La ceinture du grand froid, La Boîte noire montre nos clowns (notez bien que je ne appelle ni héros, ni protagonistes) étant restés en contact avec les crétins étant partis sur une autre planète et un Fantasio tellement excité en voyant les possibilités d'avancées technologiques ayant été offertes à lui et Spirou dans le tome précédent qu'il a inventé un véhicule en forme de cercle volant de manière pas très stable.
Spirou n'aime pas l'idée car un tel véhicule pourrait attirer l'attention des anciens ennemis des crétins de l'espace alors qu'ils les croient morts et que Spirou pense que lui-même et Fantasio doivent se faire oublier.
Alors plusieurs choses
- Primo: Vous pensiez vraiment que vous parviendrez à vous faire oublier et feignant d'être morts? VOUS ÊTES DES JOURNALISTES CONNUS ET L'UN D'ENTRE VOUS A MÊME UN JOURNAL À SON NOM! AVEC CA, IL ETAIT EVIDENT QUE LES MEUCHANTS DECOUVRIRAIENT QUE VOUS ÊTES TOUJOURS VIVANTS ET ALLAIENT VOUS F*UTRE DANS LA M*RDE!
- Deuzio: Plutôt que vous débarrasser d'une boîte où se trouvent des connaissances technologiques que vous savez dangereuses, vous préférez les garder pour vous tout en sachant que si elles tombaient entre les mains de n'importe qui, elles seraient utilisées pour fabriquer des armes? CA, C'EST PAS SEULEMENT DE LA C*NNERIE, C'EST DE L'EGOÏSME!
- Tertio: Vous restez en contact avec les crétins de l'espace? C'EST LA DERNIÈRE CHOSE À FAIRE! À CAUSE DE CA, NON SEULEMENT LES MEUCHANTS POURRAIENT FACILEMENT LES LOCALISER ET LES BUTER MAIS ILS POURRAIENT EGALEMENT VOUS BUTER VOUS POUR LES AVOIR PROTEGE!
Et du côté des méchants, c'est pas mieux. Tout comme dans le tome précédent, nous sommes face aux mêmes méchants tellement stupides qu'il n'est pas difficile pour Spirou et Fantasio de les mettre hors d'état de nuire.
Le seul moment où ils se montrent menaçants est quand ils enlèvent Fantasio et font du chantage à Spirou. Enfin, c'est à nuancer vu qu'ils enlèvent Fantasio uniquement parce que ce dernier est trop crétin pour se défendre.
Encore une fois, POUBELLE!