Surprise... et conquise !
C'est un peu par hasard que j'ai aperçu cette BD. Elle est apparue sur les réseaux sociaux, dans un coin de la page, le premier de couverture m'a tout de suite intrigué, j'ai voulu en voir plus...
Par
le 4 mai 2019
4 j'aime
« La fille dans l’écran » renouvelle le récit d’éveil sentimental pas la forme. Écrit et dessiné à quatre mains, l’album se divise en deux parties distinctes. Les pages de droites, en noir et blanc, étant le fruit du travail de Manon Desveaux, celles de gauches, en couleur, celui de Lou Lubie. D’abord figée chacune dans leur coin, les planches se mettent à communiquer au fur et à mesure que la relation des deux héroïnes évolue. De manière subtile et délicate, les couleurs et les formes finissent par se mélanger d’une page à l’autre, les cases deviennent poreuses, les mouvements abolissent la frontière de la reliure... Ce travail graphique est aussi une manière de montrer que par des moyens de communications modernes, souvent froids et impersonnels, peut naître l’émotion. Ce travail en duo quasi simultané est une première dans la BD, le résultat captive, émeut autant qu’il étonne, pour un coup d’essai c’est un coup de maître.
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur.
Créée
le 25 août 2020
Critique lue 115 fois
C'est un peu par hasard que j'ai aperçu cette BD. Elle est apparue sur les réseaux sociaux, dans un coin de la page, le premier de couverture m'a tout de suite intrigué, j'ai voulu en voir plus...
Par
le 4 mai 2019
4 j'aime
Lou Lubie a animé le forum dessiné, un endroit où les dessinateurs s’amusaient à dessiner ensemble. Assez logiquement, la voilà qui dessine à quatre mains une bande dessinée avec Manon Desveaux...
Par
le 8 juil. 2021
2 j'aime
Encore une histoire de gens qui se sentent artistes, et qui ne veulent pas rentrer dans le moule. Ici, on a deux filles, l'une qui écrit un livre jeunesse mais qui n'ose pas le finir, l'autre qui...
Par
le 19 juil. 2019
2 j'aime
Sur un sujet proche, Villeneuve réussit là ou son collègue Nolan avait partiellement échoué sur « Interstellar ». On y parle de l’intime et du collectif, de temps et d’espace, la temporalité étant...
le 8 déc. 2016
13 j'aime
2
Les bonnes causes ne font pas forcément de bons films. Ici le sujet est traité avec les gros sabots habituels du cinéma français. Scènes tire larmes suivies de leçons de morale ne laissant place à...
le 4 nov. 2016
11 j'aime
10
Un bon western classique, conçu initialement pour la 3D. John Wayne y campe un éclaireur métisse, ce qui ne semble pas évident à première vue, mais le bonhomme est tellement à l’aise dans ses bottes...
le 20 janv. 2014
11 j'aime