La galère d'Obélix, c'est un peu le premier tome qui fait vraiment cruellement sentir l'absence de Goscinny. Autant pour les précédents, on sentait que quelque chose n'allait pas, manquait légèrement, mais ça passait. Autant pour celui là, ça ne passe plus. On le lit, on apprécie de retrouver nos amis. Mais il y a toujours un décallage, dans les personnages, dans les jeux de mots, les situations... L'impression de lire une pâle imitation ne nous quitte jamais ! Ca se laisse lire, mais principalement parce que c'est du Asterix, et qu'on aime ça ! Mais autrement, on l'aurait vite rangé ans un coin sous la poussière. Je ne lui met pas moins, car Uderzo a prouvé qu'il était capable de faire pire, mais j'en pense pas moins :3.