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Pilleur d'épaves
Il y a quelque chose qui me dépassera toujours un petit peu, vous savez, c'est quand le petit ado ricain obèse regarde sérieusement son petit camarade malingre avec les boutons et les grosses...
Par
le 11 juin 2012
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Un cross-over unique de personnages emblématiques de la littérature du XIXème
Alan Moore a eu l’idée géniale de regrouper des personnages emblématiques de la littérature anglaise avec une exception française (Le capitaine Nemo) pour aller plus loin dans la fusion de la BD avec la littérature.
En effet, il continue de vouloir fusionner ces deux univers pour proposer quelque chose d’unique afin que l’on arrête de considérer la BD ou les comics comme une sous culture. Ce système de narration avait déjà été utilisé dans Watchmen, dans une moindre mesure. J’apprécie beaucoup ce mélange des genres qui donne une cohérence et une originalité si particulière aux différents univers créés par Alan Moore.
Dans ce tome, les auteurs s’attachent à narrer la rencontre des divers personnages qui vont former la Ligue, par le biais d’enquêtes sympathiques à suivre. Je trouve que l’histoire d’« Allan et le voile écarté » est excellente autant par le voyage proposé que par le style de narration emprunté à Lovecraft et à H.G Wells qui fonctionne à merveille.
De plus, avec cette Ligue, le travail d’O Neill ne doit pas être occulté car il donne un cachet très particulier à ces aventures qui se déroulent à la fin de l’époque victorienne.
En effet, il continue de vouloir fusionner ces deux univers pour proposer quelque chose d’unique afin que l’on arrête de considérer la BD ou les comics comme une sous culture. Ce système de narration avait déjà été utilisé dans Watchmen, dans une moindre mesure. J’apprécie beaucoup ce mélange des genres qui donne une cohérence et une originalité si particulière aux différents univers créés par Alan Moore.
Dans ce tome, les auteurs s’attachent à narrer la rencontre des divers personnages qui vont former la Ligue, par le biais d’enquêtes sympathiques à suivre. Je trouve que l’histoire d’« Allan et le voile écarté » est excellente autant par le voyage proposé que par le style de narration emprunté à Lovecraft et à H.G Wells qui fonctionne à merveille.
De plus, avec cette Ligue, le travail d’O Neill ne doit pas être occulté car il donne un cachet très particulier à ces aventures qui se déroulent à la fin de l’époque victorienne.
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le 10 mars 2013
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