Dans ce tome, ou le dessin et le style est conforme aux tomes précédents, la couverture annonce clairement la couleur. De la violence dans les arènes, et du feutré, du caché derrière le doré.
Car, à l'exception des jeux du cirque, il y aura ce coup-ci moins de violence directe, mais les jeux de pouvoirs entre Néron et Aggripine sont à leur paroxysme et chacun cherche à consolider ses troupes en sapant celles du camp d'en face. Mais la loyauté à l'empereur reste, et Néron devient de plus en plus fort, malgré la perte de sa tante, et de son empoisonneuse.
Un tome probablement charnière et important en termes de jeux politiques, avant le probable mat à venir du tome suivant.