Le Z du titre fait évidemment référence à Zorglub, mais pas tel qu’on l’imagine. Et c’est la seule fois que des successeurs de Franquin qui ont fait appel à ce personnage ne font pas de son apparition un simple prétexte nostalgique, mais un vrai renouvellement doublé d’un hommage de qualité. D’autant plus que les auteurs n’utiliseront pas le procédé jusqu’à la corde et qu’après Le Réveil du Z on n’entendra plus parler de Zorglub chez Tome & Janry (quoique...).
Cette aventure, comme la précédente, fait voyager nos héros dans le temps, mais cette fois-ci dans l’avenir. Ça reste du plus haut comique et les auteurs nous gratifient à nouveau de personnages loufoques et truculents. Leur vision d’un futur totalitaire d’opérette n’est pas seulement grotesque mais aussi critique. Un bien chouette album.
Eviv Machin !... euh... Grozbul !!