Riad Sattouf parle dans son album de sa circoncision est il le fait de façon amusante. Le trait n'est pas très bon il est même plutôt grossier et sommaire. Les décors eux le sont encore plus, il n'y a quasiment rien, les fonds sont majoritairement blancs. C'est surement une économie de travail, et une façon de résoudre les problèmes liés au capacités de Sattouf à réaliser des décors. Cet épisode de la circoncision il l'évoque également dans l'arabe du futur, mais si on regarde bien, il n'en parle pas de la même façon. Sattouf aime a clamer pourtant à longueur d'interviews qu'il se souviens de tout, pourtant il y a pas mal de divergences dans le déroulement des événements entre les deux récits. Enfin ce n'est pas le plus important, car c'est amusant à lire même si c'est très sommaire et très rapidement lu. Sattouf qui se voit dans l'arabe du futur comme un génie du dessin enfant devrait revoir ses premières bd, car graphiquement elles sont loin d’être terribles. Il s'est bien arrangé par la suite fort heureusement.