C'est une lecture à reculons étant donné que j'ai, par mégarde, lu le quatrième tome avant celui-ci. Les interactions entre Matsunaga et Miko sont particulièrement mièvres, tant et si bien que pas une page n'échappe au rougissement de l'un ou des deux héros (la lycéenne remporterait la palme des rougeurs dans la catégorie shōjo haut la main !). Pour le reste, l'histoire fait du surplace dans l'épisode commun du il-faut-que-je-trouve-un-cadeau-d'anniversaire-mais-quoi-car-je-suis-pauvre ; mais peu importe, je souris bêtement, c'est tout ce qui compte.