Dans un grand éclair de confusion, j'ai lu ce quatrième tome avant le troisième... mais je n'ai, à aucun moment, eu l'impression d'avoir manqué un épisode...
Alors que la tendance est au shōjo parodique, voire renversé, Mon coloc' d'enfer n'évite aucun cliché (les personnages dissimulent leurs sentiments, provoquent malentendu sur malentendu, inventent des obstacles à leur relation, etc.), et c'est ce qui me plaît — c'est le seul manga de facture très classique que je lis en ce moment. J'espère juste que la nouvelle enseignante n'est pas qui je crois qu'elle est, parce que ce serait vraiment, vraiment ! une ficelle si grosse que le mangaka mériterait d'y pendre sa créativité.