Ce sixième tome met enfin à l'honneur (pour quelques pages) le personnage le plus fascinant, le plus séduisant, à savoir : Albert. Il a cette aura envoûtante que les autres n'ont pas, ou pas entièrement. En fait, toutes les figures empruntées à Conan Doyle sont distordues, déformées par les mangakas — Sherlock notamment, qui est d'une balourdise insupportable.
L'intrigue atteint les sommets de l'absurdité avec cette histoire de document secret selon lequel le Royaume-Uni aurait ourdi la Révolution française (le faible Robespierre serait en fait un Anglais de génie...) et trouve son acmé dans la dernière page, qui a réussi à m'arracher un ricanement grossier : jamais une révélation n'aura été aussi grotesque.