Mother Sarah est un manga post-apocaliptyque qui ressemble à Mad Max avec un colosse au cheveux noir qui est à la recherche de ces enfants. Le scenario n’a rien d’original car au cour de la recherche ont passera dans un lieu différent avec des personnages pris par le despote local. Car le monde que l’on nous propose est en décrépitude et il ne peut qu’être sauvé par un miracle (Surtout dans les volumes 4 et 5 sur les religieux). Sarah est une héroïne mais pas le messie qui va tout résoudre, elle ne peut pas sauver tout le monde. Le destin est parfois déjà sceller, sans être contemplatif le manga éclair sur la réalité : La force d’un individu n’est rien face au groupe. Même ceux qui le pouvoir sont en réalité les plus faibles.
Mais en fait ça n’a aucune importance parce que le manga est là pour déballer le trait monstrueux d’Otomo. Je pourrait regarder pendant des heures ces pages d’occupations de villes par l’armée. Les scènes d’actions monstrueuses, les paysages et chaque armes à feu ou véhicules fait l’attention d’un détail particulier. Otomo fait le choix de ne montrer que les scènes de violence qui font avancer l’histoire.
On retrouve les mêmes aspirations que dans Akira ceux qui survivent sont ancrées, dominent leur passions, maîtrise leur violence. Et il n’y a d’issu qu’avec la bonté et l’entraide.