Fabien Vehlmann nous offre un scénario extrêmement intéressant, mais passablement bâclé. On ne doit pas ce ratage à l'auteur même, mais au format et à l'exercice et ses nombreuses contraintes. Si l'oeuvre avait été plus personnelle, nul doute que Sept psychopathes aurait pu faire parti des grand de la bd.
Une cinquantaine de pages pour raconter une histoire aussi ambitieux aboutie forcément à des raccourcis maladroit et des elipses forcées. Cette bande dessinée regorge d'excellentes idées, de moments remafquables, de personnages charismatiques et de revelations inattendues.
Hélas aussi passionnant soient tout ces éléments, l'oeuvre deumeure incomplete. En developpant mieux le concept, l'univers et les personnages, Sept psychopathes pourrait trouver un second souffle au cinéma.