Le déferlement de scènes ou mignonnes ou désopilantes (je ne suis pas bien sûre de savoir dans quelle catégorie se range le Takane avec un bonnet) décroche une nouvelle fois mon approbation la plus totale. Je regrette simplement que la raison invoquée par Hana pour taire ses sentiments (et même les piétiner) soit cet absurde refus de « capituler à l'ennemi », comme si l'amour équivalait à la guerre ; ce n'est pas parce que les joutes verbales s'enchaînent entre les deux héros qu'il faut associer le sentiment à la défaite et faire de cet orgueil mal placé un cheval de bataille.
Quoi qu'il en soit, le mangaka joue toujours aussi habilement avec les clichés du shōjo pour mieux amuser le lecteur — je pense notamment à la scène de la douche — et conclut ce tome de façon séduisante.