Tomura Shigaraki : Les Origines - My Hero Academia, tome 25 par Sunread26

Chronique complète :

Extrait :

Je continue d’avancer petit à petit dans ma lecture de la série, j’en redeviens vraiment accro pour le coup, même si je n’en lirais sans doute que quelques tomes par mois. Le but étant de proposer mes chroniques sans les enchainer pendant plusieurs semaines, sinon, je parlerais toujours de la même chose et ce n’est pas intéressant. En plus, comme la série est terminée au Japon, la fin ne tardera pas en France non plus, donc je pourrais la terminer également assez vite. Je crois qu’elle fera partie des séries les plus longues que j’ai terminé (avec Yu-gi-oh, le reste étant en cours ou pas commencé).

Le tome reprend avec le flashback, l’origin story de Tomura (qui a changé de nom d’ailleurs). Celle-ci est clairement tragique et dramatique, en plus d’être prévisible, mais ce n’est pas pour autant que j’ai de la peine pour lui ou sa famille (j’en ai juste pour le chien, qui n’a rien demandé et mérité lui). Son père est littéralement à l’origine du malheur de sa famille, j’ignore s’il a aussi pu influencer sur l’alter de son fils, car on ignore tous des alters de la famille en question. Ce qui est sûr, c’est qu’il est à l’origine du mal-être de son fils, ainsi que de ses problèmes de peaux. D’ailleurs, durant cette première crise, il a aussi tué sans toucher directement tous ses proches, comme quoi il en était déjà capable. Le père arrive évidemment en dernier, tel le plat de résistance, horrifié par la scène qu’il découvre et incapable d’empêcher son fils d’arrêter. J’aurais aimé une phrase de sa part ou une pensée, dans le genre « c’est ma faute » ou « c’est un monstre », afin de mieux cerner son caractère, mais bon tant pis. Quant à Tomura, qui recouvre ses souvenirs, on se rend compte qu’il n’était pas vraiment à plaindre, puisqu’il a pris du plaisir à tuer. Ses problèmes de peaux venant du fait qu’il prenait sur lui, ça veut dire qu’il a toujours été psychopathe et dangereux. Même si son père a clairement pas aider, je pense qu’il aurait été de même dans une famille normale, puisque, comme Himiko, son alter est lié au sang, à la mort littéralement. Je l’aurais mal vu passer outre, comme Bakugo qui a aussi un alter assez destructeur, il n’a pas du tout cette mentalité. Par contre, ce qui me surprend, c’est qu’il détruit oui, mais sans faire souffrir pour autant.

La deuxième partie du tome revient vers nos héros et apprentis héros. Les vacances sont terminées et il va falloir reprendre les cours, voire même, passé à la vitesse supérieure. Les professeurs l’ont compris, il semblerait qu’une grande menace plane sur le pays. Nul besoin de réfléchir bien longtemps d’où celle-ci provient. Il faut donc former rapidement les apprentis héros, même les classes de secondes qui ont pourtant déjà bien de l’avance. S’il faut former c’est que les héros professionnels actuels ne seront pas suffisant face à la menace, mais envoyer des jeunes en première ligne… est-ce une bonne idée ? La classe A et B de seconde de Yuei ont déjà un peu d’expériences, mais ce n’est pas le cas des élèves des autres écoles. Si ma mémoire est bonne, ce sont les rares secondes à avoir passé l’examen de permis provisoire, les autres écoles n’ayant envoyés que deux ou trois élèves du même âge. C’est donc un acte assez désespéré, et ça, même Endeavor l’a compris, sans oublier ce que Hawk a pu lui fournir comme informations. Il a aussi compris, que le mieux pour les protéger c’est donc de vraiment les former avec sérieux et sans doute, de manière un peu hardcore. Les élèves ne sont pas vraiment au courant, même s’ils souhaitent tous, clairement, devenir plus fort car les vilains de Tomura n’ont pas été arrêtés et qu’ils reviendront. C’est dommage que le passage sur les fêtes de noëls soit si court, mais bon Eri est toute mignonne dans son habit de noël donc ça va !

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