Nouvelle ère.
Avec le départ de Uli Roth, les Scorpions délaissent le coté prog aérien, et les envolées hendrixiennes de ce dernier, pour mettre les pieds en plein dans le heavy, style qu'ils contribueront à...
Par
le 7 janv. 2018
6 j'aime
⚠️ Une maintenance est prévue ce Mercredi 4 décembre de 9h00 à 13h. Le site sera inacessible pendant cette période.
Marquant une évolution graphique assez prononcée, qui déconcertera pas mal de fans du tisseur, cette publication influencera nombre de dessinateurs et révèlera au monde le talent de McFarlane.
L'araignée y trouve un design moins dépouillé, qui lui donne une allure plus mature, cet aspect est renforcé par son ennemi "Venom", sorte de négatif du monte en l'air, ayant hérité de son symbiote, et partageant la haine envers Parker. Cette alliance accouche d'un vilain monomaniaque, habile symbiose entre la créature extra terrestre manipulant le pantin Eddy Brock, funeste fusion qui n'a pour but que de faire payer notre cher Peter Parker. Si le récit se compose de scène plutôt chouettes, les ellipses qui les relient sembles assez artificielles, et donne à l'histoire un petit coté inconsistant, mais l'ensemble finit par se tenir et l'album se lit avec plaisir.
Créée
le 25 août 2018
Critique lue 152 fois
Du même critique
Avec le départ de Uli Roth, les Scorpions délaissent le coté prog aérien, et les envolées hendrixiennes de ce dernier, pour mettre les pieds en plein dans le heavy, style qu'ils contribueront à...
Par
le 7 janv. 2018
6 j'aime
Difficile de ne pas être scotché dès ce premier tome. De part le style graphique déjà, qui accroche l'oeil immédiatement, Ôtomo met en place un espace urbain fascinant, on y voit un Tokyo décrépi,...
Par
le 3 sept. 2016
5 j'aime
Le seul disque de jazz en ma possession, et il s'avère une expérience musicale peu commune, du moins en ce qui me concerne. L'impression déjà que tous mes repères musicaux ne me seront d'aucune...
Par
le 1 janv. 2017
5 j'aime