la marche des morts, la randonnée des vivants
Walking dead, c'est un comics des plus péchus ! l'hstoire est classique, mais elle est longue et forcément elle prend des tournures, des variantes par rapport au scénario classique, je ne voudrai pas dévoiler les moments clés mais vous pouvez y aller les yeux fermés si vous aimer Romero, les séries Z, resident evil etc....vous allez vous régaler mais faites gaffes : dans certains concombres se caches des bactéries foutant une des chiasses les plus violentes de l'humanité, des masseuses de plages participent à la propagations de maladies de peaux, et bien ce comics fait mieux il fait les deux et oui les gènes de transformations sont inhérent aux planches fabuleusement crayonnées, et tant pis si le premier tome fait plus dans le super graphique, la suite dans son minimalisme apparent est des plus efficaces ! non un tome de walking dead ne se lis pas en une heure, prenez votre temps, comparez-vous aux personnages !!! et regardez votre gosse et priez oui priez.....regardez votre voisin, et méfier vous...devenez paranoïaque, sortez votre shootgun, ou armez vous d'un harpon, d'un tournevis tous ce qui passe......car sa arrive et sa préviens pas ! walking dead n'est pas une originalité, cette BD joue sur les passions humaines en proie à la mort omniprésente : les zombies qualifient plus un "cancer", une maladie de l'humanité qu'une invasion de carcasses puantes mangeuses de sang, en atteste le gout de la chair fraiche ! putain même pas des charognards on crois rêver ! et si on va plus loin on vois dans Walking dead le manque de reperds, le questionnement, la recherche, "il faut trouver la voie" lao tseu l'a dit et bien les personnages de cette BD devraient sérieusement se mettre au judo se leurs feraient du bien......il y à la destruction des bases de nos sociétés, les infrastructures, les réseaux, les soins etc.....il y a le suicide, la mort, l'amour et tout une palette de choses vues et revues.....mais leurs utilisations n'est pas la même : Walking dead c'est la BD de zombies que Freud aurait kiffer sa race ! bonne lecture