Dynamite gachis
Après avoir lu et relu avec soin et passion, comme un Blake et Mortimer jacobien, le "120, rue de la gare" de Tardi, puis l'originel de Malet, je me suis plongé avec grande curiosité dans cette...
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le 3 nov. 2023
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120 rue de la gare est le premier film où on va voir le personnage du détective Nestor Burma, immortalisé à la télévision par Guy Marchand. Ici, c'est René Dary, qu'on connait pour avoir joué bébé toute une série de courts-métrages où il était tout petit aux débuts du cinéma muets, qui s'y colle, et il faut dire que la mayonnaise ne prend pas vraiment.
Ce dernier rencontre un automobiliste, qui n'est autre qu'un cambrioleur ayant pour passager l'occupant de la maison qui est gravement blessé, mais que le voleur avait trouvé ainsi lors de son arrivée. Ce dernier meurt en disant simplement 120 rue de la gare, et Nestor Burma va essayer de savoir ce que ça signifie.
Alors franchement pour une première, j'ai été assez déçu, car malgré des qualités évidentes dans la mise en scène de Jacques Daniel-roman, le rythme n'est pas vraiment là, et on s'endort n'est pas un mot usurpé, car il ne s'y passe pas grand chose. Même l'interprète principal n'est pas terrible, reste sa relation avec sa secrétaire, à qui il n'hésite pas à lui flanquer des baffes et elle aussi en retour, jouée par Sophie Desmarets, qu'on a vu essentiellement dans des comédies, et qui lui renvoie bien la réplique par son côté pète-secs.
C'est bien un des seuls intérêts d'un film pas burné, et sans castor.
Créée
le 3 nov. 2020
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