Difficile de commencer un avis sur 127 heures sans faire une référence cinéphile au seul film que le néophyte du 7e art connaisse concernant Danny Boyle : Slumdog Millionnaire. Les deux films n'ont aucun rapport, mais citer son oeuvre précédente doit apporter une sorte de crédit pour que tout le monde le fasse. C'était en tout cas une assez bonne raison pour que je ne m'en affranchisse pas.
Concernant le film qui nous intéresse, 127 heures, intégralement porté par un James Franco comme je l'aime (et Dieu sait que je suis amoureux de toi, James), c'est une véritable claque ! Loin d'être ennuyeux comme beaucoup l'ont craint ("tu crois que le film dure 127h ?", "ça va être un seul plan sur lui pendant tout le film ?"), le film est sans longueur et sait captiver son audience, au point qu'elle en fait parfois... des malaises.
Ce n'est pas le film de l'année mais humainement, c'est quelque chose. Et cinématographiquement, ça scotche un peu quand même.