L’épidémie a touché quasiment l’entièreté de l’Angleterre, les survivants se comptent sur les doigts d’une main.
Une suite qui n’est pas indigne de 28 jours plus tard qui alléguait que l’homme peut s’avérer bien plus dangereux qu’un zombie, celui-ci surprend en étant un drame familial. Le métrage n’épargne aucunement ses protagonistes, ne reculant jamais à en supprimer certains. Il est davantage tapageur que le premier opus, par exemple avec sa caméra agitée et en reposant essentiellement sur l’action. La figure paternelle est durablement égratignée par la métaphore de sa transformation en cadavre ambulant. Néanmoins, l’œuvre est quelque peu confuse dotée d’un gloubi-boulga de scènes légèrement indigestes.