Critique écrite initialement en janvier 2019 après ma découverte du film
De Los Angeles, on passe à Miami, Brian erre en ville après avoir démissionné de la police. Mais il est coincé, après un nouveau rodéo de voitures et doit passer un marché avec le FBI : coincer un important trafiquant pour être vraiment libre. Il accepte à une condition qu’il puisse s’associer avec Roman Pearce : son ancien meilleur ami. Mais les retrouvailles sont loin d’être amicales…
Le premier opus était sérieux, philosophique, dramatique avec de véritables enjeux, ce deuxième est plutôt comique, le ton est léger, le scénario est très mince mais passionnant, bien que les courses poursuites, remarquablement filmées (avec une vraie signature visuelle notamment cette caméra de travers), sont très classiques, sans véritable apport à la saga. Le côte policier est largement plus mis en avant que dans le premier, à vrai dire on pense plus à un « Bad Boys » de Michael Bay.
C’est parfois ridicule : les rires des personnages et certains des personnages sont irritants.
Mais l’ensemble se suit très bien… avant un troisième opus, sans Brian.
Par ailleurs, ce deuxième épisode à été écrit par Michael Brandt et Derek Haas, les futurs créateurs, producteurs et scénaristes de la série « Chicago Fire » : connaissant bien la série, j’ai constaté quelques uns de leurs « gimmicks ».