L'amour du prochain, oui.
Vé-né-ra-tion. Et j'articule bien ce mot. "2LDK" est pour moi une révélation et une vénération.
Oui, c'est surréaliste, bestial, incongru, complètement absurde. Oui, c'est pour ça que j'ai aimé. Ceux qui commencent à me connaître sauront que j'aime quand ça explose dans tous les sens et que ça en perd, justement, son sens. "2LDK", c'est ça. Et vas-y que je te mets la tête dans une baignoire électrifiée, que je te cours après avec une tronçonneuse, que je t'insulte, encore, encore, que je te jette de l'eau bouillante au visage, que ... Boarf, oui. Pas de spoil. Ces chefs d'oeuvre de violence - vous savez, le genre de petits trucs que l'on aimerait faire à certaines personnes - qui font tressauter de plaisir (sadique) le spectateur ne doivent pas être complètement dévoilé. On se tait. Surprise, surprise. Je vous invite à savourer ce fabuleux petit huis-clos plein de virulence.