300 : Le Saccage d'une Licence.
302, un film tellement visuel qu'en plein milieu j'arrivais même plus à le regarder plus de 10mns sans devoir détourner un peu mon regard pour éviter le bon gros mal de crâne... J'ai pourtant pas l'impression d'avoir maté une infecte bouse, juste que, comme d'habitude avec les suites, les producteurs et réalisateurs ont voulut trop en faire et ça donne ça : un 5/10.
Bon, déjà, question héros, on perd en charisme, en méchant aussi d'ailleurs. Eva Green, malgré son air "belle et mortelle" joue toujours aussi mal (ou toujours aussi bien la même expression, à vous de voir) et la tentative du film à nous mettre en empathie avec elle est franchement douteuse. Ensuite, chacun ses goûts, mais je trouve la photo franchement vilaine par moments : du bleu, de l'orange et du noir, depuis Guillermo Del Toro c'est un cliché, déjà, et il ne faut pas en mettre sur tous les plans... Ralentis : J'adore les ralentis, sauf quand le film décide en plein milieu de ne quasiment plus les employer. Cul : Une scène aussi gratuite et stupide que celle qui se trouve dans film est à la limite du scandaleux, un simple prétexte pour mettre Eva Exhibitio-Green ENCORE à poils et j'en passe et des meilleurs.
Toutefois, tout n'est pas à jeter dans le film mais j'avoue qu'à partir de 45mns, je me suis senti pris d'une violente lassitude, ennui, répétition et quelques scènes à la con m'ont empêché de vraiment savourer ce qui devait être la claque esthétique de la décennie.
Et puis **SPOIL**
Quand on pense que le but e Leonidas était de prouver qu'un Roi Dieu pouvait saigner afin que l'armé de Xercès perde foi en lui. Hors là, on lui fout trois points de suture et on en parle plus !! Rhaaa ça me révolte...
** Fin du Spoil **