Roses are red...

« This is a story of a boy meets a girl, but you should now upfront, this is not a love story ».

Le film commence (après une dédicace un peu spéciale) par cette phrase narrée par une voix off envoûtante. Dès le début j'ai été pris par cette petite pointe de poésie, puis toutes les autres qui parsèment le film et l'en font se dégager une ambiance si... chaleureuse. On revit la relation entre Tom et Summer, une relation dont l'on sait dès le début qu'elle ne durera pas. Mais, à passer du 1er jour de cette relation, au 299ème, puis au 75ème, et au 400ème, puis... d'ellipse en ellipse, on prend plaisir à observer cette dégradation, fatale.

J'ai apprécié retrouver Joseph Gordon-Levitt après Inception (dans mon espace-temps) dans un rôle complètement différent. Ça me fait dire qu'il est plus comédien qu'acteur. En revanche je commence à me dire que Zoey Deschanel a toujours le même rôle : la lunatique. Mais ça n'a rien à voir avec le film en lui même.

Après avoir vu 500 days of Summer, je l'ai revu une deuxième fois, et une troisième fois, et je ne me lasse pas de le voir. C'est sûrement dû à son rythme "labyrinthe". Si comme moi vous aimez les comédies romantiques, ceci en est une très bonne, qui s'éloigne de toutes les bousasses du moment.