Le très joli oxymore de fin, « il n’y a pas d’amour heureux » laisse planer une contemplation inerte et impuissante d’un cynisme débordant de la part d’âmes perdues, esseulées et indignes d’intégrité humaine. La complaisance malheureuse et propice a tout débordement incertain d’infortune dans laquelle beigne le spectateur et son programme nous laisse perplexe vis à vis de ce dessein surréaliste et monotone visant l’acceptation identitaire sentimentale. Sa fragmentation robuste et violente envers sa conscience et sa compréhension du mal, ainsi que du nihilisme, submerge l’individu évoqué par une fresque édulcorée dans son tendre et cruel romantisme contemporain. Bien que la mort et l’absolu néant de l’existence sans amour et sans parution existentielle de l’épanouissement nous soit dépeint comme une fatalité complète de l’être romanesque et théâtrale, elle peut être désignée comme une issu à son trop plein d’hésitation platonique, voir d’indécision chronique dû à la finalité du choix imposée. Bref, une jolie fin