Dans l’air du temps avec internet qui se développe, les problèmes actuels, un ras de bol et l’envie que cela change.
Dans un premier temps cela semble marcher et on se surprend à y croire. La force du peuple et une vraie volonté peuvent-elles suffire à régler les grands problèmes actuels ? C’est ce que les citoyens autoproclamés du premier pays virtuel veulent croire. Venant de tout horizon, Sénégal, Irak, Etats-Unis, tous rassemblés dans un même désir : faire bouger les choses. Mais des dérives surviennent et les solutions deviennent extrêmes. C’est donc ici de question de pouvoir (quelle légitimité ?) et de démocratie qui sont abordées. 8th finit par se heurter aux mêmes problèmes que les autres nations, divisions d’opinions, justice… Certains éléments sont toutefois pas très clairs, ou c’est moi qui n’ait pas tout compris.
L’esthétisme du monde virtuel est plaisant, et l’histoire, par ces thèmes actuels, est intéressante, tant de manière sociopolitique que technologique. Le film semble dire que le peuple via les technologies de communication possède un grand pouvoir qui peut faire bouger les choses, mais met en garde contre les dérives possibles.
Plus que d’actualités avec les Anonymous !