Dés le milieu des années 80, le jeune Roland Emmerich a de l'ambition à revendre. À travers sa société de production Centropolis Entertainement le jeune réalisateur a la volonté de proposer au sein de son Allemagne natale des films à la hollywoodienne, tournés en anglais, n'hésitant pas à utiliser entre-autres (et déjà) une certaine formule Spielbergienne (Joey évidement en 85, mais aussi Ghost Chase en 1987) avant de s'orienter pour ce Moon 44 - son petit ticket perso pour l'Hollywood dont il rêve ardemment et où il pourra notamment réaliser et apporter à l'humanité qui n'a pourtant rien demandé, des films comme Universal Soldier, Stargate, Independance Day et même un film sur le Roi des Kaiju : Jean Reno - s’orienter pour ce film disais-je vers à peu prés tout ce qui a pu être fait de marquant dans la science-fiction de la décennie précédente comme le gros fanboy qu'il est, en citant le max de trucs possibles.
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Les Gloutons du Cinéma - Moon 44