Un Chabrol tout craché. Le cinéaste nous isole une petite famille bourgeoise, et jete son dévolu cynique sur ce qu'elle cache. A petits traits, il dresse le portrait déjà à cette époque des travers de la haute, moyenne ou petite bourgeoisie.
Alligator
6
Écrit par

Créée

le 17 nov. 2012

Critique lue 392 fois

1 j'aime

Alligator

Écrit par

Critique lue 392 fois

1

D'autres avis sur À double tour

À double tour
Val_Cancun
5

Le démon du midi

Troisième long-métrage du jeune Claude Chabrol, "A double tour" est l'un des premiers films estampillés "Nouvelle vague", sorti quelques mois à peine après "Les quatre cent coups". Et divine...

le 31 mai 2022

11 j'aime

1

À double tour
AMCHI
6

La Province

Troisième film de Chabrol qui va égratigner une famille bourgeoise des environs d'Aix-en-Provence, A double tour n'atteint pas la pertinence des futurs drames bourgeois chabroliens mais la mise en...

le 18 août 2016

5 j'aime

À double tour
shiningchlochlo
3

A double tour, ou l'absence totale de subtilité

La caractéristique principale de ce film, c'est de manquer de tous les éléments d'un bon film "who did it" et d'une bonne critique sociale. Entre Belmondo apôtre de la vérité rigolarde face au couple...

le 5 déc. 2016

3 j'aime

Du même critique

Cuisine et Dépendances
Alligator
9

Critique de Cuisine et Dépendances par Alligator

Pendant très longtemps, j'ai débordé d'enthousiasme pour ce film. J'ai toujours beaucoup d'estime pour lui. Mais je crois savoir ce qui m'a tellement plu jadis et qui, aujourd'hui, paraît un peu plus...

le 22 juin 2015

55 j'aime

3

The Handmaid's Tale : La Servante écarlate
Alligator
5

Critique de The Handmaid's Tale : La Servante écarlate par Alligator

Très excité par le sujet et intrigué par le succès aux Emmy Awards, j’avais hâte de découvrir cette série. Malheureusement, je suis très déçu par la mise en scène et par la scénarisation. Assez...

le 22 nov. 2017

54 j'aime

16

Sharp Objects
Alligator
9

Critique de Sharp Objects par Alligator

En règle générale, les œuvres se nourrissant ou bâtissant toute leur démonstration sur le pathos, l’enlisement, la plainte gémissante des protagonistes me les brisent menues. Il faut un sacré talent...

le 4 sept. 2018

53 j'aime