Pluies d'été
Avant de lancer un film de Shinya Tsukamoto, je crains toujours de passer à côté tant ce réalisateur possède une vision du cinéma bien à lui, désespérée par certaines côtés voire parfois un peu...
Par
le 18 avr. 2017
5 j'aime
Ah le cinéma d'horreur asiatique, souvent représenté par le Japon et sa culture bien particulière. Ici, nous avons droit à un Thriller, semi-Expérimental. Étant réalisé par la même personne que les Tetsuo, le film attiré mon œil mais aussi par l'étrangeté du scénario. Alors que nous commençons à rentrer dans le vif du sujet, il faut savoir que l'homme qui va être l'électron altérant le noyau du couple pour en venir à une totale soumission, comme quoi, utiliser les éléments les uns contre les autres, nous permettent de pouvoir aller loin dans la prise de pouvoir. Mais une chose peut revenir, sommes-nous cet homme pour quelqu'un, quelque part ? Eh bien, seuls nos actions déterminent les conséquences. Alors que la perversité, que prend le film, nous embarque dans une profondeur, très proche de ce que nous pourrions appeler l’« Underground ». Sans jamais voir qui est l'homme, sa personnification du cinéma gore ou encore érotique voir pornographique, ne se verra jamais, même si la présence permet d'amener une certaine quantité de malaise mais en infime partie. Il n'en reste pas moins une psychologie assez glauque, qui en est émané. De plus l'esthétique bleuté apporte une froideur et un danger insinuer. Avec ce bon point, on retrouve un paradoxe, celui du jeu des acteurs qui va parfois nous montrer une performance artistique remarquable mais aussi jeu qui va dériver vers un simple produit d'une série B bas de gamme.
On retrouve ici, un film étrange, particulier, avec un potentiel assez bon, mais qui va très vite tomber à cause du jeu d'acteurs, pourtant l'atmosphère et de nombreux choix étaient convainquant.
Créée
le 28 juil. 2019
Critique lue 320 fois
1 j'aime
D'autres avis sur A Snake of June
Avant de lancer un film de Shinya Tsukamoto, je crains toujours de passer à côté tant ce réalisateur possède une vision du cinéma bien à lui, désespérée par certaines côtés voire parfois un peu...
Par
le 18 avr. 2017
5 j'aime
Tsukamoto revient dans le giron du film sombre et dérangé avec ce serpent de juin érotique, humide et sale. La caméra est (plus ou moins) calmée pour apporter plus d'épaisseur aux thèmes chers au...
Par
le 15 mars 2011
4 j'aime
Asuka Kurosawa incarne une assistante sociale dont la mission est en quelque sort de réconforter les gens au téléphone. Elle est d'apparence parfaite, sans histoires mais se sent délaissée par son...
Par
le 6 nov. 2023
2 j'aime
Du même critique
Je n'attendais pas grand chose de cette épisode. D'ailleurs à sa sortie je n'avais pas la configuration nécessaire pour le faire tourner sur PC. Je me suis laisser tenter avec l'édition Deluxe, qui...
Par
le 30 déc. 2020
1 j'aime
Le Metalcore depuis de nombreuses années, est un élément peu innovant, malgré quelques performances intéressante, l'ensemble reste monotone. Malgré cette idée qui reste dans nos têtes, des bandes...
Par
le 18 avr. 2020
1 j'aime
Et voici un nouveau (énième) film reprenant le cas des possessions et désirant être percutant. Mais non, mon dieu sauve-nous de ces massacres répétés contre le film d'horreur du sous-genre de la...
Par
le 28 juil. 2019
1 j'aime